Oui, à 100% ! Je pense que chacun peut trouver sa place en tant que bénévole en venant avec ses appétences, ses potentialités et ses idées. L’engagement est propre à chacun. C’est une expérience tellement riche autour d’une belle aventure humaine.

Audrey, 26 ans, assistante socialeSecouriste à la Protection Civile Bagneux

J’ai connu la Protection Civile grâce à un véhicule de secours que j’ai vu en allant prendre le métro. Ça m’a donné envie de me renseigner sur l’association et puis de la rejoindre une fois mes recherches effectuées.

Laurine, 25 ans, consultante en gestion de projetSecouriste à la Protection Civile Paris 15

Lorsque j’avais 16 ans, j’ai cherché à devenir sauveteur en mer pour faire de la surveillance de plages l’été. En complément du BNSSA, il fallait passer le PSE1 (premiers secours en équipe de niveau 1).

Antonin, 24 ans, chargé de communicationSecouriste à la Protection Civile Paris

J’ai connu la Protection Civile Paris Seine grâce à mon service civique. Il y a trois ans j’étais en recherche d’un organisme pour intensifier mon expérience professionnelle avant d’entamer une L3. Je ne connaissais pas du tout le monde du secourisme et ce fut pour moi une découverte très enrichissante qui m’a permis de prendre confiance en moi et de m’épanouir.

Charlotte, 26 ans, étudiante en communicationSecouriste à la Protection Civile Paris 14

Mon engagement m’a permis de développer des qualités qu’elles soient techniques (comme la rigueur dans les gestes ou la description d’une situation), humaines (notamment l’écoute), l’adaptabilité (puisqu’on est confrontés à des situations variées, d’urgence, pour lesquelles il faut réagir vite et bien) et l’ouverture d’esprit (nos interventions concernent des personnes de tout milieu social, tout âge, toutes convictions). Plus globalement, j’apprécie de me rendre utile concrètement, tant lors des maraudes auprès des sans-abris que lors de nos gardes, même lorsque les interventions ne concernent pas des urgences vitales comme lorsqu’on se rend chez des personnes âgées ayant chuté et ne pouvant se relever seules. C’est un engagement qui a du sens.

Pierre, 36 ans, administrateur des affaires maritimesSecouriste à la Protection Civile

J’ai connu la Protection Civile grâce à mon père qui était lui même bénévole il y a 30 ans, j’ai souhaité reprendre le flambeau. Aujourd’hui, dans ma vie professionnelle je suis cheffe de projet digital dans une grande agence de communication.

Anaïs, 28 ans, cheffe de projet digitalSecouriste à la Protection Civile

Avant d’intégrer la PCPS, j’avais suivi le cursus Jeunes Sapeurs-Pompiers de Paris (JSPP). J’ai donc été formée PSE1 et PSE2 à la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris (BSPP). L’éléments déclencheur a été de pouvoir mettre en pratique les gestes appris auparavant et être l’un des maillons de la chaîne de secours. Être secouriste c’est pour moi se sentir utile à la population.

Laura, 20 ans, Étudiante en STAPSSecouriste à la Protection Civile